La TCC est une thérapie brève et scientifiquement prouvée. Il a été démontré qu’elle améliore une variété de troubles psychiatriques, tels que la dépression, les phobies et les troubles obsessionnels compulsifs. Ce sont régulièrement des thérapies dites scientifiques, parce qu’elles sont issues de la technique expérimentale et sont appliquées au cas spécifique de chacun.
L’historique de la thérapie
Les premiers essais pour la thérapie comportementale ont été publiés en 1913, de Watson, qui préserve l’idée du behaviorisme selon laquelle la psychologie devrait se concentrer sur l’étude des comportements. La thérapie cognitive quant à elle, a été développée durant les années 60, par Alber Ellis accompagné par Aaron Beck. Le premier s’est concerné aux épisodes dépressifs venant de la vision majestueuse que vous avez de vous-même comparée à ce que vous êtes capables de faire, engendrant la plupart du temps des appréciations pessimistes. Le second, Aaron Baker, s’est concentré sur la découverte de la cognition, de vos pensées et de vos croyances après avoir évalué les conclusions de différents traitements. La synthèse du comportement et de la cognition se fait par soi-même, avec des allers-retours fréquents entre les deux par le thérapeute. En ligne, vous pouvez avoir plus d’informations sur la thérapie cognitive.
Qu’est-ce que la thérapie comportementale et cognitive ?
La psychothérapie comportementale et cognitive ou TCC est une approche thérapeutique focalisée principalement pour l’ici et le maintenant et qui applique les règles de la méthodologie scientifique dans la thérapie des problèmes psychopathologiques. Elle nécessite que les émotions et comportements soient davantage déterminés par l’interprétation que les personnes donnent à un événement que par la circonstance elle-même. Grâce à un style curatif actif et collaboratif, le patient et le thérapeute déterminent ensemble les difficultés de la réalité journalière du patient et définissent l’objectif thérapeutique à arriver. Les problèmes sont abordés sous l’angle des pensées et attitudes dysfonctionnelles. Ils mettent également en vérité les croyances, habitudes et schémas plus ou moins rigidifiés qu’il contente d’assouplir pour favoriser une excellente adaptation du patient à sa situation présent. Cette approche vise conformément la reconnaissance des émotions et sentiments qui peuvent parfois se montrer déstabilisant ou extrêmes.
Des méthodes d’évolution et d’apprentissage de nouvelles compétences sont proposées et testées dans le cadre de devoirs à domicile complémentaires aux cours. Durant ses débuts à la fin des années 50 sur les pays anglo-saxons, la TCC a connu plusieurs évolutions et son efficacité a été prouvée scientifiquement dans le cadre de multiples affections, notamment les troubles de l’angoisse et dépressif, les désordres alimentaires, les addictions et les instabilités du sommeil, pour n’en mentionner que quelques-uns. Tous les troubles psychiques et aussi un bon nombre de problématiques peuvent dès lors être traités par la psychologie comportementale, en conjonction ou pas avec la pharmacothérapie.
Quel est le principe du TCC ?
La thérapie comportementale et cognitive est fondée sur l’apprentissage de différents comportements, à partir de l’élaboration d’idées plus adéquates. Il se procède de réussir demain, ce dont vous le croyez incapable aujourd’hui et que, de ce fait, vous avez raté hier. Cette pratique repose en partie sur l’analyse fonctionnelle du problème, et la mise à jour du déclencheur, le monologue interne qui lui est associé, est sans aucun doute une compulsion. Puis sur l’élaboration d’ambitions, qui consistent principalement en un certain nombre de tâches claires à accomplir. Ce qui sous-entend avec le patient de se mettre en situation angoissante. D’où une autre conception essentielle aux TCC, un contrat ou une coopération active entre les deux parties, qui permettent d’estimer ce que le patient peut accepter. Il n’y a pas d’obligation prodiguée par le thérapeute.
Les thérapies cognitives et comportementales ou tcc s’intéressent à celle qui fait souffrir. La pratique est focalisée sur la cognition, c’est-à-dire ce que vous pensez et croyez. Celles-ci peuvent engendrer un état de souffrance et un comportement névropathique que la thérapie va alors s’attacher à rectifier.